Salut tout le monde.
Dechargez cette attachement pour realizer comment le monde est petit et beau, et pour mettre un peu de perspective dans nos affaires de tous les jours.
Salut tout le monde.
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http://actfrench.weebly.com/atelier-francophone.html
C'est l'occasion de travailler du théâtre français contemporain en français. L'atelier débouchera sur une présentation publique de scènes extraits du théâtre contemporain le 16 Février.
We request that students be native speakers OR speak French with ease. Please feel free to contact us if you have a question about whether you are ready for the atelier francophone. No theatre experience required.
*Aucune expérience théâtrale exigée*
This four-session intensive will run on Tuesdays from 7-10pm with an public performance on February 16th.
Dates: 25 Janvier, Feb 1, 8, 15
Horaire: 19-22h
Le 16 Février (20-23h): présentation publique de scènes
Champion Studios: 257 w 39 st , 14th floor, New York , NY 10018
Frais d'inscription: $265
Brand new series in French language just launched. These podcasts will cover the following topics: social entrepreneurship, corporate social responsibility, philanthropy, responsible investing, bottom of the pyramid, impact measurement... They share a European perspective on Social Innovation Conversations in the very own words of the social innovators at the forefront of creating change in France and Africa and reach out to the French speaking populations of the world. The series is made possible through the collaboration of the Center for Social Innovation at Stanford Graduate School of Business and the Institute for Social Innovation and Entrepreneurship at the French business school ESSEC. Details...
Face aux besoins sociétaux que ni les services publics ni la logique de marché ne peuvent pleinement satisfaire, il est urgent de rechercher des solutions innovantes au service des hommes et de la collectivité, dans les pays du Nord comme dans ceux du Sud.
Entrepreneuriat social, citoyenneté d’entreprise, responsabilité sociale des organisations, « Base of the pyramid », philanthropie, investissement responsable, mesure de l’impact social constituent autant de cadres d’action porteurs de changements systémiques.
Retrouvez les voix de toutes ces parties prenantes autour de discussions, interviews et conférences produites par l'Institut de l'Innovation et de l'Entrepreneuriat Social de l'ESSEC.
Cette série vous est présentée par Bernadette Clavier, Directeur Associée du Center pour l'Innovation Sociale a Stanford Graduate School of Business, et Thierry Sibieude, professeur et directeur de l'Institut de l'Innovation et de l'Entrepreneuriat Social de l'ESSEC.
Je réalise actuellement un reportage sur les Lyonnais de New York pour le magazine Lyon Capitale et je recherche des personnes originaires de la région lyonnaise ou ayant vécu pendant une longue période dans le Rhône, et habitant aujourd'hui New York. Pour les besoins de cet article, je souhaite écrire une série de portraits, environ une dizaine.
Si vous correspondez à ce profil et que vous êtes intéressé à l'idée de partager votre expérience, je souhaiterais pouvoir vous rencontrer pour une interview.
Vous pouvez me contacter à l'adresse suivante : gaetanmat@free.fr
Merci.
Gaétan Mathieu
Dans le Gangs of New York de Martin Scorsese, Bill "Le Boucher" Cutting tente à coups de hachoir de résister à la disparition de l'Amérique préindustrielle, engloutie par le sang de la guerre de Sécession. En vain.
Quelque cent cinquante ans plus tard, s'il pouvait ressusciter, Bill aurait pourtant un motif de satisfaction. Pour cela, il lui faudrait se rendre à Brooklyn, au 100 Frost Street, où un petit gang manipule quotidiennement des couteaux effilés dans une mare de sang. Le sang des bêtes. Des demi-carcasses de boeuf ou de cochon.
Un tablier maculé de sang, une chemise à carreaux et une moustache
Depuis bientôt deux ans, ce groupe dirige la résistance contre l'empire de la bidoche industrielle. On les appelle les "neo-butchers". Pendant la découpe, la sono vomit Lemuria Rising des Murder City Devils, un classique du punk-garage US. Vous êtes au Meat Hook, en français le "crochet à viande". Une boucherie sise dans une ancienne fabrique de moquette devenue conceptstore, un lieu dédié aux viandes de qualité et à la bonne chère.
Derrière le comptoir, Ben Turley, 29 ans, l'un des trois boss du Meat Hook, s'active à la fabrication de saucisses, l'une des spécialités maison. Sous son tablier maculé d'hémoglobine, Ben porte ce qui est quasiment devenu la panoplie des nouveaux bouchers américains : la chemise à carreaux et la moustache.
Ici, à Brooklyn, le boucher est jeune et branché. De quoi faire pâlir d'envie nos artisans parisiens, souvent proches de la retraite, qui rament pour trouver des apprentis un tant soit peu motivés. Début novembre, pour Halloween, Ben a fait le buzz en répondant au Daily Mail, un tabloïd new-yorkais.
"Ils voulaient savoir combien pouvait coûter une robe en viande comme celle portée par Lady Gaga aux derniers MTV Awards. Je leur ai dit 2000 dollars et que ça ne devait pas sentir très bon, mais ils ont fait un papier comme si on croulait sous les demandes ! En fait, jamais personne n'a passé la moindre commande, mais bon, ça doit faire partie de la butcher craze, la folie bouchère, qui a envahi New York..."
"L'inverse des charcuteries prout-prout de Manhattan"
Tom Mylan porte aussi une chemise à carreaux mais pas de moustache et une casquette de base-ball. De toute l'équipe du Meat Hook, ce grand gaillard de 34 ans a sans doute le physique le plus proche du boucher traditionnel : un généreux tour de hanche trahit son amour pour la bidoche.
"L'idée originelle du Meat Hook, c'est de faire revivre la boucherie américaine des années 50, explique celui qui est devenu le prophète du mouvement. Un artisanat populaire, pour fournir de la bonne viande sans être hors de prix. Mon objectif, c'est d'assumer sans complexe le côté bourrin de la culture américaine. Ici, on préfère préparer des jerky sticks (bâtonnets de boeuf séchés - ndlr) que de la terrine (en français dans le texte - ndlr), des hot dogs plutôt que du boudin noir (idem - ndlr). L'inverse des charcuteries prout-prout de Manhattan."
Pour illustrer son propos, Tom se met à découper une énorme tranche d'aloyau à la scie à os. Le steak, géant, fait une dizaine de centimètres d'épaisseur et rassemble en un seul morceau le porterhouse (rumsteak), le T-bone (faux-filet et filet, reliés par la vertèbre) et le rib eye (côte de boeuf et entrecôte). "Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les gens voulaient oublier les privations et faire la fête. Ils commandaient donc de grosses pièces comme celle-ci pour leur barbecue du dimanche."
Une culture qui ne survivra pas à l'industrialisation du système agroalimentaire à partir de la fin des années 1960, tout particulièrement à New York, où les appartements sont trop petits pour organiser de vastes banquets à domicile.
"A cette époque, l'industrie se met à organiser la découpe et l'emballage dès l'abattoir, près des feedlots, les grands élevages concentrés du Midwest, entre Denver et Chicago, raconte Tom. A partir de là, les restaurants ou les supermarchés de New York vont commander des cartons de viande prédécoupée avec les seuls morceaux qui les intéressent : le filet ou le T-bone. Le reste est transformé en steak haché pour les chaînes de fast-food, alors en pleine croissance."
A New York, au milieu des années 80, il ne reste plus une seule boucherie qui commande et découpe elle-même ses carcasses. Celles qui restent sont de simples comptoirs de revente.
La renaissance se fera attendre un quart de siècle, au moment où l'Amérique prend enfin conscience de l'impasse où l'a conduite la bouffe industrielle. Un réveil initié par l'écrivain-enquêteur Michael Pollan et son Dilemme de l'omnivore, publié en 2006, une charge implacable contre les ravages de la malbouffe. Suit le film Food Inc, sorti en 2008. Ces oeuvres accompagnent une révolte culinaire et culturelle aux Etats-Unis, dont les neo-butchers sont l'expression carnée.
Lire la suite ici :
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All members of New York in French are invited to join us on January 27 for a one night journey to Bordeaux at 82Mercer in New York City. Meet 17 young chateau owners, share their passion and knowledge, and of course, experience their latest wines. 29 Grand Cru Classé wines will be paired with hors d’oeuvres, cheese, and chocolates inspired by the flavors of Bordeaux, created by François Payard. Guests may also participate in The Grand Cru Challenge, a blind tasting for the chance to win notable bottles or a Breitling B01 Chronomat watch. For a limited time New York in French members receive $50 off the general admission price. Simply enter the code NYINFRENCH when purchasing your ticket to receive the discount. Looking forward to seeing you there!
By LaToya C. Dawkins Head English Teacher at Le Petit Paradis Preschool
The development of pro-social behavior is not a nature versus nurture issue. Pro-social behavior develops by using social interactions to guide them through behaviors that benefit another person or animal. Some actions that directly help to assist others are sharing, helping, and cooperating.
As an educator, most social behaviors that I have seen in children are learned behaviors. I have heard several colleagues mention that they can judge a child’s family situation by the behaviors that they display in preschool. It makes me smile to see a child share or say “please” or “thank you.” But as an early childhood teacher I wondered how a young child could display behaviors that go deeper than the general manners but aim to develop true altruism, pro-social behaviors that are unselfish and uncollateralized.
Show Them
The phrase, “Do what I say and not as I do,” is irrelevant when it comes to pro-social behavior. The primary way a child learns pro-social behavior is through interactions with family members and caregivers. For example, a child may learn how to share by watching her brother and sister share household responsibilities. Sharing can be taught by encouraging a child to do so but the intrinsic benefits of sharing can only be fully understood by example. When sharing is a part of a child’s lifestyle, they will less likely have to be reminded to share with others but it will be a natural social behavior. It will go deeper than sharing a toy but also ideas and information.
Ask Them
The best helpers are those who are asked for help. At home a child who is encouraged to help their baby sister pick up a toy or asked to help make dinner will most likely come to preschool and be the best helpers towards their friends and teachers. Like sharing, helping can be taught in two ways. First by the exchange approach, “You do this for me and then I will do this for you” or secondly by the humanity approach, “We should try our best to help those in need.” When helping is displayed through the humanity approach it becomes more contagious and less toxic to daily social interactions. This is true even for us as adults. We would rather be helped out of the goodness of someone’s heart than to have to owe that person in exchange for their help. Pure help will be offered because one can recall how good it felt to be defended or rescued.
Encourage Them
Dramatic play is one of the areas I see children cooperating with each other the most. Cooperative play can be so beneficial because it allows children the opportunity to learn healthy interactions and healthy conflicts. Cooperation becomes pro-social behavior when its goal is for the benefit of someone or for the group. Children are often encouraged to cooperate for the benefit of themselves, “If you clean up your room nicely, I will buy you ice cream.” However, cooperating becomes unselfish and less as a form of black mail when presented as a way to benefit others emotionally or physically. “Let’s turn over the soil so it will be ready for us to plant in the spring.”
The benefits of pro-social behavior will be beneficial to your preschooler and to you. It will create a less stressful atmosphere at home, your preschooler will naturally become more compassionate, and they will develop healthy social, cognitive and emotional skills.
References
Marion, Marian 2007 "Guiding the Development of Prosocial Behavior." Guidance of Young Children 7th Ed. pp. 250-70
Extrait d'un article du journal de l'école PS 73X Express (octobre/novembre 2010)
Graffiti is any type of public marking from simple written words to elaborate wall paintings. Graffiti has existed since ancient times, examples dating back to ancient Greece and the Roman Empire.
Spray painting, and marker pen are the most commonly used graffiti mediums. In most countries, marking or painting property without the property owner's consent is considered defacement and vandalism and is a punishable crime.
To some people, graffiti is an art form worthy of display in galleries and exhibitions ; to others it is vandalism.
Graffiti has evolved into a pop culture existence often related to underground Hip Hop music.
Pour illustrer ce propos, voici une photo prise d'un wagon de la ligne 7 (surnommée "l'Orient Express" bien justement puisque son terminus donne directement dans le quartier chinois du Queens) du site mondialement connu sous le nom de 5 poinz : un ensemble de manufactures et de bâtiments désaffectés dont les propriétaires ont semble t-il donné l'autorisation aux différents "artistes". Personnellement, j'adooooore, et oui, mais ça n'engage que moi, les Graffitis sont une forme d'art. En tout cas, vu du métro aérien, c'est super joli...
Que 2011 soit créative, joyeuse
et riche en projets de toutes sortes !
Mes petites danseuses ont animé les fêtes de fin d'année: chorégraphies, chansons,textes.
Un programme varié pour tout public.
Amuse-Bouche No. 30. Who’s counting? Le monde en chiffre
by Julia Frey
julia.frey@aya.yale.edu
Un chiffre can also be a secret code.
Last night we spent la fête de Saint-Sylvestre (New Year’s Eve) with Michel in the country, and today, le jour de l’an (New Year’s Day), on a fait la grasse matinée (literally, everyone made a fat morning, i.e. slept late). One of the joys of gathering together over le brunch is discussing the night before, and teasing Michel, who, for mysterious reasons, insisted on dragging every girl in the room over to inspect “le gui l'an neuf” (the New Year’s mistletoe).
01/01 (le 1er janvier) is a new beginning -- a good time for deciding what counts, and how to count it. OK my strong suit isn’t les maths, but I know the difference between numéro, as in “That was quite a numéro you did last night, Michel,” nombre as in “you drank un certain nombre (some, i.e. a large number) de verres, but who’s counting? (mais n'entrons pas dans les détails" or "à ce stade là, on ne compte plus),” and chiffre, as in “when you’re drunk you’re un zéro en chiffre (synonyme: nul -- a real loser).”
Here's the countdown: Un chiffre (figure, digit) is a number between 0 and 9 en chiffres arabes (Arab numerals). XXX is an example of un chiffre romain, except when I sign a letter “XXX, Julia.” Un chiffre has no value, it’s just a symbol, like a letter in the alphabet, unless it’s a chiffre (sum, total) calculated, say, by un homme-chiffre (numbers-cruncher) when preparing the mysterious chiffre d’affaires (sales figures) of a business. A monogram is also called un chiffre, because it’s usually complicated and hard to read, like un chiffre (cipher, encryption code) used by spies -- and by you, to unlock your cell phone. Which you’ll need, if you forget the code that gets you into a friend’s apartment building in Paris.
A chiffre becomes un nombre (number) when it takes on a meaning, just the way la lettre A becomes un mot in “il a” (he has) or “A+” -- short for “à plus tard” (see you later). Un nombre describes a quantity, as in nombre atomique. It has a physical, or at least a mathematical sense, even when you don’t know exactly what it adds up to, as in un nombre incalculable d'étoiles, source of the metaphor un chiffre astronomique. If the quantity increases, you accumulate chiffres. Paradoxically, trente-six (36) is considered a very large number of things. So if you get hit on the head, you see trente-six chandelles (candles, i.e. stars) which one hopes only happens tous les 36 du mois (never).
A similar impossibility, la semaine aux quatre jeudis (the week with 4 Thursdays) began as un voeu pieux (wishful thinking) because formerly on Thursday, French schools were closed. But if something happens tous les 4 matins (every 4 mornings), it can be expected at frequent intervals. Ordinarily, 4 is a small number. The French title of Bertolt Brecht’s The Three-penny Opera is L'Opéra de quat'sous. And if it plays to a nearly empty theatre, it attracts an audience of quatre pelés et un tondu (four baldies and a skinhead).
A numéro is different -- it’s a name made out of chiffres, usually to represent a position in a series. Its meaning is not related to quantity; it just identifies something, like un numéro de téléphone or un numéro de plaque (license plate). Though un numéro de vaudeville originally reflected the order of skits presented onstage, it has evolved into the expression faire un numéro (to put on an act), thus: “elle lui a fait son numéro de la cover-girl irrésistible.”
Even numéros made out of chiffres can get confusing. “J'habite au numéro 12 bis (literally “number 12, a second time”) sounds like double talk to an unsuspecting étranger. Everybody knows that No. 12 represents the twelfth house on the street. But who knew that No. 12 bis is an address added next door to No. 12, after the street was officially numbered? Consequently No. 12 ter -- “number 12, a third time” (if any) is the house later built next door to 12 bis.
French literary snobs use bis in the Latin aphorism, “bis repetita placent” (things repeated are pleasing), leading us to the verb bisser -- yelling “Bis ! Bis !” (Encore! Encore!) at the end of a concert. I have to admit I’ve never actually heard an audience say that. When French audiences like a performance, they clap rhythmically, causing prickly confusion (embarrassment) for any Americans present. In the U.S., slow-clapping is an insult. We only do that if we hate the show.
But back to the word neuf (nine, new), as in l’an neuf, which can prêter à confusion (be misleading). Le pont Neuf for example, is not the newest bridge in Paris -- that’s la passerelle Simone de Beauvoir, a footbridge completed in 2006. It’s not the ninth bridge either. Depending on whether you count Paris’s 37 bridges beginning upstream or downstream, le pont Neuf is either No. 12 or No. 17. In fact, although it has recently been restored, le pont Neuf is, en chiffres ronds, 400 years old -- the oldest bridge in town. It was named when they began building it in 1567. Apparently they still considered it new when they finished it, 36 years later, in 1603.
Bonne année !
© Julia Frey 2011
Pour des raison familiales très tristes et douloureuses, j'ai du retourner en France à la veille des fêtes de Noël...(vol aller le 22 décembre et vol retour prévu le 25).
Le 25, me voici donc dans l'aéroport de Barcelone, assez vide en cette journée de Noël. Peu importe pour moi, l'important est de regagner NY, ma famille et la chaleur de mon foyer. C'était sans compter quelques aléas...
Un dispositif draconien de fouille systématique avait été mis en place avant l'embarquement : fouille au corps, fouille systématique de tous les sacs à mains et de toutes les valises. 2h d'attente interminable avant de pouvoir s'installer dans l'avion.
Décollage vers Chicago où m'attend une connection pour NY.
Atterrisage à 15h30, arrivée dans la salle où l'on passe le contrôle de l'immigration à 16H. Une file d'une centaine de personnes est devant moi. Mon vol pour NY est pour 16h45. 45 minutes, c'est très peu et m'empresse de demander de l'aide à l'agent chargé de s'occuper de la file d'attente. Je n'ai pu terminer ma phrase. Pour cette personne, j'allais rater mon vol, c'était peu de chose!
Une vingtaine de personnes me laissent passer, puis un groupe de voyageurs allemands dans la même situation que moi demandent aux autres voyageurs de nous laisser passer en tête.
16H30... Je n'ai plus qu'un quart d'heure... Me voici à un guichet de Continental Airlines qui me dit que pour être dirigée vers un autre vol, je dois être "rebookée" par Pakistan International Airlines. Deux niveaux plus haut et 30 minutes plus tard, il fallait se rendre à l'évidence, j'avais râté mon avion.
1ère nuit à Chicago, en face de l'aéroport et même pas la force ni l'envie de manger.
Le lendemain, j'avais un vol prévu pour 9h40. Mais le blizzard était prévu sur NY et tous les vols étaient annulés. L'agent me conseille de revenir dès l'ouverture du guichet, c'est à dire vers 3h du matin le lendemain.
2ème nuit à Chicago, en face de l'aéroport. Sans téléphone portable, ni ordinateur et chaque email envoyé facturé 7$.
Et c'est là que, sans autre issue qu'un programme télé insipide, une salade au poulet et une énième banane comme dessert, le téléphone sonne et que j'entends la voix douce et bienveillante de mon mari, puis plus tard de mon amie Marie-V... : plus de deux heures de conversations, me redonnant cette énergie qui me manquait, le réconfort dont j'avais tant besoin. Tant d'épreuves accumulées les derniers jours, le réveillon de Noël manqué avec mon petit garçon. Parfois, trop c'est trop...
Le lendemain, à 5H du matin, Terminal One, re-guichet de la Continental Airlines, re-annulation du vol du matin, et re-re-annulation du vol de l'après-midi.
- Come back at 1, this afternoon!
Dès midi, je me positionne dans la file d'attente pour tenter d'obtenir un billet pour n'importe quel vol en direction de NY!!! Je ne me préoccupais pas de manger et le petit déj' était bien loin (4h du mat'). J'ai atteint le comptoir à 17h... Pour m'entendre dire que le 1er vol disponible était le 31 décembre...
RIDEAU!!!!!!!!!!
Je traduis (en gros) ce que me dit l'agent : "je ne vais pas créer un siège pour vous", "vous n'êtes pas la seule dans cette situation", "je ne veux pas entendre votre histoire". Pour résumer donc, un sale moment.
Seule solution envisageable pour regagner NY : le train!!!
Direction le métro, puis la gare de Chicago downtown.Mais une dame dans la même situation que moi, mais avec ce petit objet magique qu'est un I-Phone m'indique qu'aucun train n'est dispo avant 2 jours.
Retour à l'aéroport. Achat d'une énième banane (seul repas en 12h) et là... un ange : la vendeuse de ladite banane me prête son portable. Grâce à elle, je peux appeler un numéro gratuit où une personne très aimable me trouve un hôtel peu cher dans les environs de l'aéroport.
Retour dans la file d'attente. Au final, je passerai donc 9h dans cet endroit aujourd'hui!
Et puis, voilà le soir. J'atteint le guichet mais auprès d'un autre agent de la Continental. Rien à me proposer! Si ce n'est...
- A boarding pass to Cleveland.
(???????????????????)
Explications : deux personnes dans la même situation que moi ont eu l'INGENIEUSE idée de prendre un billet Chicago/Cleveland puis de louer une voiture de Cleveland vers NY. Et il restait une place dans la voiture.
EUREKA!!!
Mon boarding pass dans mon sac, quelques détails échangés avec Saskia et Sunny, il est temps d'aller dormir.
Direction, la "gare" des Shuttle pour regagner mon nouvel hôtel. Moins 10°, pas grand chose dans le ventre, petite jupe légère. C'est du n'importe quoi pour ma santé. Mais le coeur est léger et j'imagine déjà Pensylvannia Station au bout du voyage!!!
Le lendemain (nous sommes maintenant le 28 décembre et cela fait 3 jours que je suis bloquée à Chicago), je retrouve Saskia et Sunny. Nous prenons un jet express Continental Airlines. 55 minutes plus tard, nous sommes à Cleveland. Puis quelques minutes plus tard, nous roulons sur l'autoroute 80 et traversons l'Ohio, puis la Pensylvannie.
Voyage magnifique après ces heures pénibles. Chacune donnant des nouvelles à sa famille dans sa langue : slovaque, mandarin, français et anglais pour communiquer entre nous. Trois parcours différents et un but commun : regagner New York que nous affectionnons toutes trois énormément.
Saskia nous demande un peu de silence pour écouter son air favori du moment.
Sympa!!!
Arrivée vers 18h sur l'autoroute du New Jersey avec 6 voies d'un côté et 6 voies de l'autre. Enjoy and welcome in New Jersey...
JFK cerné par plus de 80cm de neige. Tous les terminaux assaillis par les taxis. Beaucoup de gens dormant à moitié sur leur valise et puis, et puis, et puis...
L'airtrain, l'Amtrak vers Pensylvania Station.
Retrouvailles émouvantes avec ma famille.
Il me reste 4 jours pour profiter de la fin des vacances.
Am..., Marie-V..., Saskia, Sunny, et tous ceux qui m'ont aidé à surmonter cette épreuve, je vous embrasse très très fort. Je ne vous citerai pas tous! Vous êtes dans mon coeur. Rem... je pense très fort à toi! Keep the faith. Be yourself, no matter what they say...
'A real New York gift!'
New Yorkers on the Subway
A book of 50 drawings of New Yorkers riding the subway drawn on New Yorker Magazine subscription cards by Artist Jeanne Verdoux
Price: $25.50
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Liberty, Equality, and Fraternity
by Jyoti (2nd Grade)
Finalist in the Concours 2010
A long time ago
In France
People were hungry
People needed help
King did not help
People turned against the King
People demanded and fought for change
They wanted
Liberty
Equality
Fraternity
No more suffering
No more King
We are free at last
La Mort d'Eden
by Bailey (Grade 11)
Finalist in the Concours 2010
The people are marching, their will is strong
like waves they crash and drown the monarchy
while Lady Liberty leads them forth
The despot quakes in his palace,
his iron fist has broken, and like sands through an hourglass,
the reigns of a nation slip through his fingers.
His Eden has shattered, and
like Adam and Eve, he will surely fall
With the Estates no more,
the silver spoons have been melted down
the taste of freedom is on everyone's lips
and the words in their throats are
"Liberty, Equality, Fraternity!"
NOUVEAU!
A partir du 14 Janvier 2011, un atelier
théâtre cross culturel Français / Anglais.